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Corriger une réécriture sur le présent de l'indicatif- exercice n°1 et 2Versión en línea
Corrigez vos réécritures en complétant les phrases à trous.
Réécrivez
ce
texte
au
présent
de
l
?
indicatif
et
remplacez
«
mon
père
»
par
«
mon
père
et
son
cousin
Au
Moyen
-
Âge
,
les
seigneurs
construisaient
des
châteaux
forts
pour
se
protéger
de
leurs
ennemis
.
Le
seigneur
et
sa
famille
vivaient
dans
le
donjon
.
Les
paysans
venaient
se
réfugier
dans
le
château
en
cas
d
?
attaque
.
À
huit
heures
,
au
château
de
Combourg
,
la
cloche
annonçait
le
souper
.
Après
le
souper
,
dans
les
beaux
jours
,
on
s
?
asseyait
sur
le
perron
.
Mon
père
,
armé
de
son
fusil
,
tirait
les
chouettes
qui
s
?
envolaient
des
créneaux
à
l
?
entrée
de
la
nuit
.
Ma
mère
,
Lucile
et
moi
,
nous
voyions
le
ciel
,
les
bois
,
les
derniers
rayons
du
soleil
,
les
premières
étoiles
.
À
dix
heures
,
on
rentrait
et
l
?
on
s
?
endormait
.
A
vous
de
modifier
le
texte
:
Au
Moyen
-
Âge
,
les
seigneurs
des
châteaux
forts
pour
se
protéger
de
leurs
ennemis
.
Le
seigneur
et
sa
famille
dans
le
donjon
.
Les
paysans
se
réfugier
dans
le
château
en
cas
d
?
attaque
.
À
huit
heures
,
au
château
de
Combourg
,
la
cloche
le
souper
.
Après
le
souper
,
dans
les
beaux
jours
,
on
?
assoit
/
?
assied
sur
le
perron
.
Mon
père
et
son
cousin
,
de
,
les
chouettes
qui
?
envolent
des
créneaux
à
l
?
entrée
de
la
nuit
.
Ma
mère
,
Lucile
et
moi
,
nous
voyons
le
ciel
,
les
bois
,
les
derniers
rayons
du
soleil
,
les
premières
étoiles
.
À
dix
heures
,
on
et
l
?
on
?
endort
.
Réécriture
2
:
Réécrivez
ce
texte
au
présent
de
l
?
indicatif
Je
partis
à
travers
les
champs
.
Ah
!
le
c
?
ur
me
battait
!
Le
printemps
rayonnait
dans
toute
sa
splendeur
.
Et
quand
je
poussai
le
portail
donnant
sur
la
prairie
,
mille
parfums
d'herbes
,
d'arbres
,
d'écorce
fraîche
me
sautèrent
au
visage
.
Je
courus
sans
me
retourner
jusqu'à
un
boqueteau
.
Des
abeilles
y
voletaient
.
Tout
l'air
,
où
flottaient
les
pollens
,
vibrait
du
frémissement
de
leurs
ailes
.
Plus
loin
,
un
verger
d'amandiers
n'était
qu'une
neige
de
fleurs
où
roucoulaient
les
premières
palombes
de
l'année
nouvelle
.
J'étais
enivré
.
A
vous
de
jouer
maintenant
:
Je
à
travers
les
champs
.
Ah
!
le
c
?
ur
me
!
Le
printemps
dans
toute
sa
splendeur
.
Et
quand
je
le
portail
donnant
sur
la
prairie
,
mille
parfums
d'herbes
,
d'arbres
,
d'écorce
fraîche
me
au
visage
.
Je
sans
me
retourner
jusqu'à
un
boqueteau
.
Des
abeilles
y
.
Tout
l'air
,
où
les
pollens
,
du
frémissement
de
leurs
ailes
.
Plus
loin
,
un
verger
d'amandiers
?
est
qu'une
neige
de
fleurs
où
les
premières
palombes
de
l'année
nouvelle
.
Je
enivré
.
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