On
ne
peut
pas
vivre
dans
une
société
capitaliste
moderne
sans
de
l'argent
contre
des
biens
et
des
services
.
Même
les
plus
endurcis
des
homesteaders
de
l'Alaska
,
par
exemple
,
qui
leur
propre
nourriture
et
leur
propre
énergie
et
qui
renoncé
à
se
rendre
quotidiennement
ou
même
hebdomadairement
au
supermarché
,
un
jour
ou
l'autre
acheter
des
outils
,
de
l'essence
,
du
shampoing
.
.
.
Mais
nous
,
qui
avons
facilement
accès
à
tout
,
sommes
souvent
la
proie
d'un
marketing
et
d'une
publicité
,
et
finissons
par
acheter
des
choses
qui
ne
pas
être
comme
essentielles
.
Il
n'y
a
rien
de
mal
à
cela
,
mais
que
diriez
-
vous
de
vous
mettre
au
défi
de
n'acheter
que
des
choses
?
Combien
seriez
-
vous
prêt
à
sacrifier
?
Et
est
-
il
possible
qu'en
moins
.
.
.
vous
ayez
plus
?
De
Slate
France
:
«Cela
faire
partie
de
vos
bonnes
pour
cette
nouvelle
année
:
tenter
de
ne
pas
acheter
le
moindre
objet
non
essentiel
du
1er
janvier
jusqu'au
31
décembre
.
Ce
nouveau
défi
,
qui
n'a
rien
de
futile
,
s'appelle
le
"
no
-
buy
challenge
"
;
certaines
personnes
n'ont
d'ailleurs
pas
attendu
2025
pour
se
le
lancer
et
de
s'y
tenir
.
C'est
le
cas
d'Elysia
Berman
,
Américaine
interrogée
par
NPR
,
qui
a
réalisé
il
y
a
un
peu
plus
d'un
an
que
son
rapport
au
shopping
incontrôlable
.
La
quantité
d'achats
qu'elle
réalisait
étant
croissante
,
elle
a
fini
par
décider
de
prendre
les
choses
en
main
.
C'est
en
décembre
2023
,
lorsqu'elle
est
dans
une
boutique
pour
acheter
une
paire
de
gants
et
qu'elle
en
est
ressortie
avec
un
manteau
à
600
dollars
(
577
euros
)
,
que
le
déclic
a
vraiment
eu
lieu
:
"
C'était
mon
point
de
rupture
"
,
explique
-
t
-
elle
.
La
trentenaire
,
qui
avait
jusqu'ici
l'habitude
d'acheter
entre
dix
et
trente
nouveaux
articles
par
semaine
,
a
choisi
de
documenter
son
propre
"
no
-
buy
challenge
"
sur
TikTok
.
En
tant
que
professionnelle
de
l'industrie
de
la
mode
,
particulièrement
en
proie
à
la
tentation
du
shopping
,
elle
explique
que
cette
nouvelle
discipline
de
vie
est
loin
d'être
simple
à
respecter
.
Depuis
qu'elle
a
commencé
son
défi
en
janvier
2024
,
la
trentenaire
affirme
avoir
économisé
des
dizaines
de
milliers
de
dollars
,
remboursé
un
quart
des
dettes
qu'elle
avait
,
et
affirme
avoir
senti
une
amélioration
au
niveau
de
sa
santé
mentale
.
"
En
gros
"
,
résume
-
t
-
elle
,
"
j'ai
suivi
une
cure
de
désintoxication
et
je
me
suis
de
la
dopamine
qu'on
accumule
en
faisant
des
emplettes
"
.
(
.
.
.
)
L'idée
n'est
pas
de
suivre
un
grand
règlement
universel
dicté
par
on
ne
sait
qui
.
"
Les
règles
de
non
-
achat
sont
différentes
pour
chacun
"
,
indique
Elysia
Berman
,
dont
la
colonne
"
non
"
inclut
vêtements
,
produits
de
beauté
,
parfums
,
bijoux
et
maillots
de
bain
,
tandis
que
du
côté
des
"
oui
"
,
on
trouve
les
fleurs
fraîches
,
les
billets
de
musée
,
les
cours
de
pilates
et
les
voyages
à
petit
budget»
.
.
.
Pensez
-
vous
que
vous
seriez
plus
heureux
si
vous
vos
achats
?
Croyez
-
vous
toujours
au
dicton
«moins
,
c'est
plus»
?
Pourquoi
(
pas
)
?