4.
"(?), pourtant, je la connaissais depuis toujours, depuis le jardin de ma tante Marthe, depuis l'été qui gorge la petite excroissance chétive d'un soleil de plus en plus ardent, depuis la déchirure qu'y faisaient mes dents pour asperger ma langue d'un jus généreux, tiède et riche que la fraîcher des refrigérateurs, l'affront des vinaigres et la fausse noblesse de l'huile masquent en sa générosité essentielle." De quel fruit parle-t-il ?