le Tsar Alexandre de Russie s'affiche en "grand seigneur" redistribuant royaumes et terres aux souverains absolus reconnus comme seuls légitimes.
Considéré comme le roi de France légitime, Louis XVIII retrouve sa couronne que lui tendent les vainqueurs.
Ferdinand VII d'Espagne retrouve son royaume que Napoléon avait remis à son frère Joseph.
François II empereur autrichien replace dans un panier commun les etrritoires conquis et rendus par Napoléon afin de procéder à un partage entre vainqueurs lors du congrès organisé dans sa capitale Vienne.
Se précipitant sur les territoires restés au sol, le roi de Prusse Frédéric-Guillaume II agrandit sensiblement son royaume et cherche à profiter du congrès pour "s'en mettre plein les poches".
Lord Castlereagh, premier ministre du Royaume-uni vainqueur à Waterloo et soucieux d'un retour à l'équilibre européen force Napoléon à rendre ses conquêtes passées.
Vaincu à Watreloo, Napoléon est contraint d'abdiquer et la France qui doit renoncer à ses conquêtes retrouve ses frontières de 1792.
La délégation française ressort par "la petite porte" bredouille : la France puissance vaincue, volontairement isolée et affaiblie, retrouve ses frontières de 1792.
Exclu des négociations de Vienne, le roi de Naples et de Sicile Murat voit son royaume lui glisser des mains : en dépit de sa trahison à l'égard de Napoléon, il n'est pas considéré comme légitime par les rois absolus.